De la préhistoire à la conquête spatiale, Stanley Kubrick s’interroge sur les origines et le devenir de l’humanité, dans une parabole métaphysique magistrale.
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« 2001, l’Odyssée de l’espace » de Stanley Kubrick (1972). DR
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Publié le 10 novembre 2007 à 00h00
Mis à jour le 16 février 2025 à 16h02
Des anthropoïdes découvrent un étrange monolithe. Et l'un d'eux, soudain, a l'idée de faire une arme d'un os brisé. Il le lance en l'air. L'objet tournoie et... se transforme en vaisseau spatial : quatre millions d'années plus tard, le docteur Floyd est en route pour la Lune, où l'on vient de découvrir... un monolithe.
Le Beau Danube bleu rythme un lent ballet d'astronefs. Images d'une poésie futuriste et glacée. Le film ouvre une brèche d'infini dans l'imagination du spectateur : sous le space opera se cache une parabole métaphysique vertigineuse. Kubrick s'interroge sur les origines et le devenir de l'humanité. Il fait du monolithe, envoyé par une intelligence extraterrestre, un symbole
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