Entre reconstitution appliquée, coups de théâtre et clichés, ce huis clos à gros sabots s’empêtre dans son étude psychologique de la jalousie et des salauds ordinaires. Heureusement, il y a l’imprévisible Sara Giraudeau.
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Publié le 11 janvier 2022 à 10h06
Mis à jour le 12 janvier 2024 à 10h56
Après Le Jeu (2018), vaudeville contemporain, fini de rire. Tiré de la pièce de Jean-Philippe Daguerre, le nouveau huis clos de Fred Cavayé se déroule en 1942 et voit un brave employé de bijouterie parisien (Gilles Lellouche) sombrer dans la crapulerie à mesure qu’il prend l’ascendant sur son patron, juif, caché à la cave (Daniel Auteuil). D’abord intrigant, voire dérangeant, le film s’enlise, doucement mais inexorablement, dans son étude de la jalousie, tant sociale que sexuelle, et des salauds ordinaires. Entre reconstitution appliquée, coups de théâtre et clichés (le sempiternel officier allemand esthète et francophone, un médaillon volé dont on se doute bien qu’il
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