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Publié le 28 décembre 2022 à 00h30
Quatre planches pourries au fond d’un bidonville avec vue sur le Vatican : une porcherie, dans laquelle Giacinto, le patriarche, et sa grouillante famille vivent comme des gorets. Dans la crasse et la promiscuité éclatent d’incessantes et féroces bagarres. Nuit et jour, Giacinto veille, fusil à la main, sur le petit magot que lui a rapporté la perte d’un œil. Les autres décident de lui faire la peau…
Chaque scène du quotidien, au fond du cloaque, se transforme en sarabande obscène, chaque détail est un peu plus dégradant. Cet enfer de vermine et de dénuement moral, Ettore Scola le montre à coups d’images cinglantes comme des injures. La misère noire, ce n’est pas romanesque, c’est
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