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Publié le 27 janvier 2022 à 12h36
Mis à jour le 27 janvier 2022 à 13h36
Amadeus vu par Forman est chargé en dorures, candélabres, perruques poudreuses à faire passer la cour de l’empereur pour un troupeau de moutons. Mais ce n’est pas ce qu’on lui a reproché. Ce Mozart-là chamboule la dignité des gravures. Tom Hulce lui donne tout ce qu’il peut et, illustre inconnu en 1984, n’a pas été revu depuis. Il saute, glousse, joue du piano debout, à l’envers… C’est Elton John en brodequins ! Et il y a son rire. Un rire de gosse, de fou. Amadeus est rythmé par la musique de Mozart, mais c’est ce rire obscène qui le ponctue, le griffe, le signe.
Raconter l’histoire d’un génie solaire par le biais de la jalousie d’un rival obscur (Salieri) était une assez riche idée.
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