À Rimini, les seins de la Gradisca et la parade grotesque des fascistes… Fellini sublime ses souvenirs.
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Publié le 09 février 2013 à 00h00
Mis à jour le 25 mars 2025 à 11h57
Jamais Fellini n'a été plus proche de l'autobiographie qu'avec ce film au titre évocateur : « Je me souviens », en dialecte romagnol. Souvenirs plus ou moins avérés, donc, du jeune Federico, quand il découvrait la vie à Rimini dans les années 1930.
La mémoire transforme ces instantanés de vie ordinaire en saynètes, tableaux, images irrésistibles. Au fil d'une chronique décousue main surgissent les seins de la Gradisca, l'hyperbolique vamp locale, le directeur du cinéma qui s'est fait la tête d'un célèbre jeune premier hollywoodien, le fabuleux paquebot Rex glissant dans la nuit et la parade grotesque des pompeux guignols en uniforme de la fête fasciste. Rassemblés, tous ces signes,
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