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Publié le 08 août 2015 à 02h00
Mis à jour le 08 novembre 2021 à 01h38
| GENRE : aussi mauvais que le premier.
Dans un futur proche, les Etats-Unis ont instauré « la purge » : une nuit cathartique où tous les crimes sont permis. Entre l'épisode numéro 1 (un huis clos avec des héros dans une maison) et le 2 (une rue avec des héros qui semblent « enfermés dehors »), James DeMonaco n'est pas devenu John Carpenter. Cette critique de la société américaine et du libéralisme triomphant est profondément hypocrite : le cinéaste filme avec complaisance la violence qu'il prétend dénoncer. — Nicolas Didier
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