Effets spéciaux, casting de luxe… Mais ces gauloiseries réalisées par Thomas Langmann et Frédéric Forestier ne font pas rire.
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Jean-Pierre Cassel, Gérard Depardieu, Clovis Cornillac et Stéphane Rousseau. Photo Pathé Production / Bruno Calvo / Laurent Pons
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Publié le 14 avril 2025 à 17h45
Il faut rendre à Thomas Langmann ce qui appartient à Thomas Langmann : non pas d’avoir eu l’idée très ancienne d’adapter en live Astérix (Louis de Funès lui-même fut naguère envisagé pour le rôle du Gaulois futé !) mais d’aller au bout de ses envies. Langmann a d’abord tanné son père, Claude Berri, pour que celui-ci produise une première adaptation, Astérix et Obélix contre César (1998), de Claude Zidi. Le fils est maintenant directement passé aux commandes, comme producteur et coréalisateur avec Frédéric Forestier. Ce jeune homme fluet devenu l’un des plus grands entrepreneurs du cinéma français – c’est aussi lui qui produit la saga sur Mesrine,
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