Pour ses 50 ans, Antoine est victime d’un infarctus. Il va donc devoir être prudent. Or Antoine a passé sa vie entière à faire attention à tout. Il décide d’adopter un tout autre régime.
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Publié le 20 août 2024 à 10h51
Mis à jour le 27 mars 2025 à 15h26
Le « film de potes » est un genre en soi : étude de caractères sur l’air de la complicité, mais aussi des vieilles rancœurs, des petites manies… Celui-ci nous est présenté par Antoine (Lambert Wilson, en cavaleur désinvolte), qui ironise en voix off sur son gang de cadres sup quinquagénaires. De Frank Dubosc, sobre pour une fois, à Florence Foresti, au naturel désopilant, la galerie de portraits s’adapte à un casting de luxe, où chacun joue (plutôt bien) une partition assez caricaturale. Petites bisbilles, grandes cuites, vagues coucheries et bilans existentiels. Au final, on a le même problème qu’Antoine : ces copains-là, on les a déjà trop fréquentés.
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