Beethoven se trouve truffe à truffe avec Missy, une séduisante congénère. Ils se plaisent, ils se revoient, ils s’aiment… Ça va bien une fois, mais pas deux.
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Publié le 25 décembre 1993 à 00h00
Mis à jour le 21 février 2025 à 10h41
Beethoven, l’encombrant saint-bernard de la famille Newton, poursuit sa découverte des grasses pelouses de son quartier. Il se trouve un beau jour truffe à truffe avec Missy, une séduisante congénère. Ils se plaisent, ils se revoient, ils s’aiment…
Ce que j’en pense. Toutous amoureux, méchante maîtresse, progéniture en danger : dans le deuxième volet des aventures de Beethoven, Rod Daniel s’inspire librement des 101 Dalmatiens. Une version plus baveuse et, surtout, beaucoup plus niaiseuse. Pour faire bonne mesure à la débauche de langues pendantes, jappements et autres papattes que lui impose son sujet, le réalisateur tente un détour du côté du genre humain. Mais la « gentille »
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