Marilyn chantant “I wanna be loved by you, pooh pooh pee dooh” ou embuant les lunettes de Tony Curtis sous ses baisers… Galvaudé, le mot chef-d’œuvre ? Pas ici.
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Tony Curtis (Joe/Josephine), Marilyn Monroe (Sugar) et Jack Lemmon (Jerry/Daphné) dans “Certains l’aiment chaud”. DR
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Publié le 17 novembre 2007 à 00h00
Mis à jour le 25 mars 2025 à 07h00
On connaît la réplique qui clôt ce superbe film : « Personne n'est parfait. » Et moins celle qui résume une grande partie de la philosophie de Billy Wilder, que prononce un Jack Lemmon travesti, sidéré, soudain, par le monde incroyable qu'il découvre : « Les femmes, dit-il alors à son pote Tony Curtis, sont un sexe tout à fait différent. » On n'a jamais mesuré si bien et de manière si concise une des grandes évidences de la vie...
En pleine Prohibition, deux musiciens, poursuivis par des gangsters pour avoir assisté à un massacre, rejoignent, maquillés et pomponnés, un orchestre féminin, dont la vedette est une adorable paumée qui joue de l'ukulélé, tombe amoureuse de tous les saxophonistes
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