Suite à la mort d’un peintre, tous ses amis se retrouvent à la gare pour se rendre à son enterrement à Limoges. L’occasion pour eux de faire le point sur leurs vies. L’homme de théâtre frappait un grand coup au cinéma avec ce film brillant.
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Publié le 08 mars 2022 à 17h51
Mis à jour le 29 novembre 2024 à 10h31
Jean-Baptiste, qui se savait malade, voulait être enterré à Limoges. « C’est loin », lui avait-on fait observer. « Eh bien, ceux qui m’aiment prendront le train », avait-il répondu. Ceux qui l’aiment sont donc là, qui se désirent, qui se déchirent…
On ne sait pas très bien qui est qui. On ne voit que des éclats de personnages. La caméra de Patrice Chéreau est notre fil d’Ariane dans ce portrait de groupe où chacun se dévoile au fil du voyage. Elle peut être dure, cette caméra, mais elle n’est jamais injuste. Elle est brillante, aussi, mais dénuée de virtuosité gratuite. On n’oubliera pas ce train arrêté dans une gare, où Chéreau crée une ambiance presque fantastique. Ni
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