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Catalina Sandino Moreno et Benicio Del Toro. Photo Daniel Daza/Laura Bickford Productions/Morena Films /Telecinco/Wild Bunch
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Publié le 24 décembre 2016 à 00h00
Mis à jour le 12 mars 2025 à 12h19
Treillis de guérillero, barbe épaisse et havane aux lèvres, impossible de se tromper, c'est bien le Che, réincarné en Benicio Del Toro. Ce premier volet retrace l'opération a priori suicidaire conduisant au renversement de Batista en 1959. Trouver le bon souffle, maintenir la cadence, se battre avec « un brin de folie » (dixit Castro) : la lutte est inégale, les handicaps énormes, mais la force est du côté des « barbudos ».
Ceux qui attendent des révélations sur Guevara seront déçus. Le film, sec, informe qu'il est argentin, asthmatique et intraitable, c'est à peu près tout. On perçoit en revanche son autorité naturelle sur le terrain, sa capacité à donner envie de se battre, à se
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