La vacuité de la réussite et le pouvoir des blessures d’enfance, voilà ce que dit Welles, génie de 25 ans, à coups de plans plus novateurs les uns que les autres.
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« Citizen Kane » (1941), d'Orson Welles. © RKO / DR
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Publié le 16 mai 2015 à 00h00
Mis à jour le 25 mars 2025 à 08h02
C'est le film de tous les records, celui que tant de cinéastes et de critiques placent au plus haut : il fut tourné en 1940 par un jeune homme de 25 ans qui faisait ses débuts derrière la caméra : Orson Welles. Pour le centième anniversaire de sa naissance, qui va être célébré à Cannes, Citizen Kane est, pour la première fois, édité en haute définition dans le format Blu-ray, avec un livret plein de photos et de documents d'époque. Dans les bonus, on accède à un commentaire passionnant (mais non sous-titré) du réalisateur Peter Bogdanovich, qui s'exclame presque à chaque scène : « Personne n'avait jamais filmé comme ça avant ! », « Un tel cadrage n'avait jamais été fait ! »...
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