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Publié le 26 septembre 2009 à 00h00
Mis à jour le 21 février 2025 à 14h12
Pourfendre les préjugés, c'est ce qui guide Agnès Jaoui. « On est tous des asservis consentants », inféodés dans nos rapports privés, inféodés aussi aux diktats culturels… Lolita en est l'illustration vivante, fille de 20 ans un peu immature et complexée qui endure ses kilos superflus et son père, écrivain et éditeur de renom, qui prend à peine le temps d'écouter sa fille. Lolita se plaint, geint, pleurniche, mais se soumet par peur de lui déplaire.
Il y a deux films en un : une comédie d'épinglage, disons socio-psy, et un autoportrait déguisé. Tout ce qui est lié au chant libère de fait la réalisatrice de la mécanique scénaristique et de la satire. Dans les scènes de répétition de
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