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Publié le 29 septembre 2007 à 00h00
Mis à jour le 25 juillet 2024 à 16h46
Ian Curtis s’est pendu le 18 mai 1980, chez lui, à 23 ans, dans un rez-de-jardin anglais où le ciel n’entrait guère, dans les environs de Manchester. Nimbé d’une aura de poète maudit, le chanteur de Joy Division était en passe de devenir le héros d’une génération pour laquelle il s’est aussitôt mué en martyr, bel inconsolable monté au ciel à l’orée noire des années Thatcher. Derrière lui, il a laissé l’énigme de sa disparition brutale, et celle d’une trajectoire fulgurante – deux ans entre le premier concert et le dernier geste – que le photographe rock Anton Corbijn sonde, pour son premier long métrage, avec assurance, émotion et délicatesse. Dans
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