1858, Sud des Etats-Unis. L’homme blanc règne sur ses sujets noirs. Deux pistoleros flinguent à tout-va au nom de la liberté. Un Tarantino engagé, drôle et humain.
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Jamie Foxx dans « Django Unchained ». Columbia pictures
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Publié le 19 janvier 2013 à 00h00
Mis à jour le 19 février 2025 à 11h51
On avait quitté Tarantino sous l'Occupation, à Paris : c'est là que ses Inglourious Basterds (2009) réglaient son compte à Adolf Hitler, faisant disparaître le dictateur nazi dans un cinéma en flammes. C'est à nouveau dans le passé que nous entraîne le réalisateur : nous voilà en 1858, au coeur du Sud des Etats-Unis. Une terre d'esclavage où les comptes à régler ne manquent pas pour le Dr King Schultz, un chasseur de primes, et pour l'esclave noir qu'il a libéré de ses chaînes, Django. Fidèle à son travail de remise à jour du cinéma de genre, Tarantino passe du film de guerre avec Inglourious Basterds au western avec Django unchained. Après avoir revisité le film d'arts
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