As du volant, Ryan Gosling roule pour Hollywood le jour et pour les truands la nuit… Faux road-movie, série B abstraite et glamour, polar punk qui débute comme du Michael Mann, avant de pencher du côté de Don Siegel.
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Ryan Gosling. Bold Films - Marc Platt Productions
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Publié le 29 août 2024 à 08h00
Mis à jour le 25 mars 2025 à 21h55
Cascadeur à Hollywood le jour et chauffeur pour des braqueurs la nuit. Un homme sans amis, à part un garagiste boiteux qui pourrait être son père. L’amour peut-il l’atteindre ? Il surgit en tout cas sous les traits d’Irene, charmante voisine au regard triste, mère d’un bambin, et dont le mari est en taule… Le personnage flegmatique qu’incarne Ryan Gosling se révélera défenseur de la veuve et de l’orphelin, mais aussi ange exterminateur. Sa brutalité jaillit dans une terrible scène d’ascenseur où un baiser est aussitôt suivi d’un déchaînement de violence.
À travers le scorpion jaune sur le blouson argenté, le graphisme rose eighties du générique, le morceau d’électro vintage de Kavinsky
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