S’abonner pour voir la note
Réservé aux abonnés
Publié le 11 octobre 2019 à 04h00
Mis à jour le 08 novembre 2021 à 00h43
Était-il nécessaire de ramener Breaking Bad à la vie ? Non. La série de Vince Gilligan, diffusée outre-Atlantique entre 2008 et 2013 sur AMC (et OCS, Arte, puis Netflix en France) fait partie de ces chefs-d’œuvre à ne pas avoir raté leur sortie. Son récit était bouclé, le sort de son (anti-)héros, réglé, son époustouflant crescendo dramatique, terminé. Ne restait qu’une question en suspens, qui laissait un peu d’espace aux spectateurs pour faire vivre, un instant encore, Breaking Bad dans leur imaginaire : Jesse Pinkman (Aaron Paul), le bras droit devenu meilleur ennemi du parrain de la drogue Walter White (Bryan Cranston), survivait, seul, au massacre final, et s’enfuyait,
aux abonnés
sans engagement, résiliable à tout moment
L’avis des abonnés
Retrouver toutes vos avis dans notes et critiques
Veuillez réessayer dans quelques instants
Les commentaires sont soumis à des règles de modération. Lire notre charte
Vous avez déjà contribué. Retrouvez vos critiques dans la rubrique mes notes et critiques
Voir mes notes et critiques