En 2004, l’astucieux scénariste Charlie Kaufman, le génial bricoleur Michel Gondry et le déchirant Jim Carrey télescopaient leurs talents dans un big bang créatif qui engendra sans doute le meilleur film du réalisateur.
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Kate Winslet et Jim Carrey dans « Eternal Sunshine of the spotless mind ».
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Publié le 10 février 2021 à 06h00
Mis à jour le 04 octobre 2024 à 14h25
On peut accepter ou non le gadget narratif qui fait entrer dans le vif du sujet : une invention futuriste à même de vous rendre étranger à la personne de votre choix. Si on tolère le truc, on risque fort de contracter un attachement durable à Eternal Sunshine of the Spotless Mind, deuxième (entre Human Nature et La Science des rêves) et meilleur long métrage de Michel Gondry. Sa première vie de clippeur surdoué y trouvait un prolongement idéal, avec un récit gigogne, affranchi de la chronologie.
Par un carton trouvé dans sa boîte aux lettres, un New-Yorkais (Jim Carrey, magnifique en gars triste) apprend donc que sa compagne (Kate Winslet), fêlée, fragile, vient de le faire effacer de sa
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