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Publié le 12 juin 2019 à 08h00
Mis à jour le 08 novembre 2021 à 00h46
C‘est l’Angleterre de 1977, mais c’est bien le cinéma de l’Américain John Cameron Mitchell. Comme dans Shortbus (2006), son film le plus réussi, la jeunesse se déchaîne, musique et libido confondues. La scène punk irrigue ce conte fantasque, inspiré d’une nouvelle du Britannique Neil Gaiman. Il s’agit de la rencontre de trois garçons sous substance avec des extraterrestres ayant pris forme féminine. Mais la métaphore paraît évidente : ces aliens incarnent l’amour et la sexualité que les héros découvrent avec beaucoup de gaucherie et de sidération, de soirées en concerts. Dans des scènes d’initiation très contemporaines, ces filles renversent les stéréotypes
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