À la ville, Iron Man est un play-boy milliardaire et cynique. Après s’être fait kidnapper, il se consacre à la paix. Un savoureux film de superhéros.
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Robert Downey Jr. Photo Zade Rosenthal
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Publié le 20 avril 2013 à 00h00
Mis à jour le 21 février 2025 à 16h27
Moins connu que ses camarades Hulk ou Spider-Man, Iron Man est néanmoins un superhéros authentique, fragile à l'intérieur (il a un coeur artificiel) et super balèze à l'extérieur, comme tous les surhommes nés de l'imagination de Stan Lee dans les années 1960. Outre sa banale capacité à voler à la vitesse du son au secours de la veuve et de l'orphelin, sa spécialité est d'être lui-même son propre ennemi : la schizophrénie entre l'homme privé et l'homme public atteint ici un abîme inédit.
Pour une fois, le premier n'est pas un binoclard pubère susceptible de faciliter l'identification avec le public adolescent des Marvel Comics. À la ville, Iron Man est un play-boy milliardaire et cynique, héritier
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