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Publié le 06 novembre 2010 à 00h00
Mis à jour le 09 avril 2025 à 17h45
Le spectacle de ces ados attardés, toujours bloqués au stade oro-anal malgré la quarantaine approchante, a quelque chose d'émouvant. À une époque où les rebelles d'hier deviennent régulièrement les réacs d'aujourd'hui, la fidélité de Knoxville et des siens à leur combat contre le politiquement correct donne des raisons d'espérer. Les cascades délirantes s'enchaînent (se faire arracher une dent par une Lamborghini, se faire défoncer par un bélier). On manque de vomir plus d'une fois devant ce spectacle surréaliste et cathartique à la fois. Sans doute une nouvelle forme de la purgation des passions chère à Aristote...
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