Sœur de “Nikita” et de “Léon”, la pucelle version Besson n’a guère d'épaisseur.
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Publié le 06 novembre 1999 à 00h00
Mis à jour le 04 avril 2025 à 12h52
Un historien, Roger Caratini, nous explique (1) qu'il n'y a rien de vrai, ou presque, dans l'épopée de Jeanne d'Arc. « Elle n'a joué aucun rôle, sinon accessoire, dans la guerre de Cent Ans. Elle n'a pas été la libératrice d'Orléans, puisqu'il n'y a pas eu de siège de la ville. Les Anglais ne sont pour rien dans sa mort. » Et d'ajouter que « l'artiste n'est pas là pour écrire l'Histoire, mais pour réaliser une œuvre d'art » et, donc, qu'au cinéma « la vérité n'a aucune importance », ce en quoi il a parfaitement raison.
Jeanne ne serait donc, dans ses multiples avatars cinématographiques, que le reflet des convictions ou de l'inconscient de ses réalisateurs. En 1928, par exemple, dans La Passion
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