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Publié le 09 octobre 2010 à 02h00
Mis à jour le 08 novembre 2021 à 01h36
C'est un joyeux bordel orchestré par Gregg Araki, cinéaste gay et punk, plus vraiment un jeunot (50 ans), mais toujours les doigts dans la prise. Son Kaboom (équivalent anglais de notre « badaboum ») dynamite le film de campus, à coups de sexualité joyeuse et mélangée, de prophéties apocalyptiques et de cauchemars « lynchiens ». Ce retour aux sources trash et pop réjouira les fans de sa trilogie des années 1990 (Totally f***ed up, The Doom Generation, Nowhere), mais pourrait séduire aussi les admirateurs de Mysterious Skin, sur les hantises adolescentes.
Car Araki n'y va pas de main morte, à l'image de cette réplique, potentiellement culte, balancée par l'héroïne à un amant trop rapide
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