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Publié le 19 novembre 2016 à 00h00
Mis à jour le 04 octobre 2023 à 13h58
| Genre : L'Aurore de Vigo.
« Filmant la prose, il atteint sans effort la poésie. » François Truffaut, le roi de la formule, découvre, enthousiaste, les films de Jean Vigo dans les ciné-clubs après la guerre. Prosaïque et poète, une dualité que l'auteur maudit d'A propos de Nice revendique avec la fierté du désespoir. Toute sa (courte) vie, Vigo restera incompris, et ses films anticonformistes et révoltés, jugés trop saugrenus. Il n'est pas fils d'anarchiste pour rien !
Quand il tourne L'Atalante, il est à bout, très malade. Après l'échec de Zéro de conduite (censuré pendant douze ans), son producteur mécène, Jacques-Louis Nounez, a dégoté un scénario qui a l'apparence d'une romance
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