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« L’Empereur de Paris », de Jean-François Richet Roger Arpajou / Mandarin Production / Gaumont
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Publié le 18 février 2025 à 12h16
Jean-François Richet a commencé sa carrière par deux brûlots qui se déroulent en banlieue (dont l’insurrectionnel Ma 6-T va crack-er, 1997), le voici à la tête d’une des productions françaises les plus coûteuses de l’année. Un parcours étonnant, pas si éloigné de celui de François Vidocq, ex-bagnard qui deviendra chef de la police, sous le règne de Napoléon. Un Vidocq de cinéma, il y en avait déjà eu un, signé Pitof, en 2001, échec notoire mais dont certains délires visuels et partis pris fantastiques méritaient d’être salués. Jean-François Richet, lui, cherche clairement à être réaliste, en matière de décors et de costumes. Réaliste et pragmatique, comme son héros.
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