Chef-d’œuvre ! Tout est réussi dans ces aventures d’un bidasse en permission lancé, au Brésil, à la poursuite de sa fiancée et de statuettes.
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La fougue juvénile de Belmondo. Collection Christophel/FCG/Dear Film Produzione
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Publié le 30 mars 2013 à 00h00
Mis à jour le 25 juillet 2024 à 16h17
Il faut le dire une bonne fois pour toutes : L'Homme de Rio est le meilleur film d'aventures-divertissement-populaire-comédie-d'action jamais produit par le cinéma français. Un bijou, une merveille. On exagère ? Certes non. Le film ne serait pas ce qu'il est sans la fougue juvénile de Belmondo, héros idéal de cette BD qui voyage de Paris à Rio pour s'achever dans la forêt amazonienne. Mais Bébel ne serait pas non plus ce héros à la fois familier et athlétique si Françoise Dorléac — kidnappée par d'odieux trafiquants — ne lui imposait pas ce copieux programme de prouesses. Laquelle Françoise Dorléac est résolument irrésistible.
Mais, rendons à César ce qui lui appartient, ces deux personnages
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