Alors qu’il joue derrière la ferme de ses parents, située dans une vallée encaissée du Wyoming, Jacky Starrett, neuf ans, repère un cavalier au loin. Un duo mythique, les charismatiques Alan Ladd et Jean Arthur.
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Jean Arthur et Alan Ladd dans « L’Homme des vallées perdues » de George Stevens (1953).
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Publié le 18 janvier 2014 à 00h00
Mis à jour le 20 décembre 2024 à 16h54
Un inconnu venu de « nulle part » arrive dans une petite bourgade et trouve un emploi dans une famille de fermiers. Il cherche à oublier son passé de tireur redouté. Il remise ses armes, mais, devant les attaques de ranchers malveillants, il doit de nouveau replonger dans la brutalité des gunfights, sous le regard fasciné du petit garçon du couple.
Académique, manichéen, compassé, les qualificatifs négatifs fusèrent à la sortie du film. Heureusement, quelques-uns, comme Sam Peckinpah, futur réalisateur de La Horde sauvage, passèrent outre le trop grand classicisme de la mise en scène et le ton didactique du récit pour louer le réalisme historique, la violence amère qui se dégagent
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