Sur la scène d’un théâtre de Vienne, un magicien retrouve la jolie duchesse qu’il a aimée enfant, désormais promise au prince héritier. Une sorte de conte de fées, kitsch côté romance, classique mais pas déplaisant côté show.
S’abonner pour voir la note

Réservé aux abonnés
Publié le 19 juillet 2008 à 00h00
Mis à jour le 27 mars 2025 à 14h19
| Genre : factice ?
Le spectacle dans le spectacle continue : après Le Prestige (du talentueux et tortueux Christopher Nolan), voici une nouvelle histoire de magie. Mais cette fois, c'est gentil, mignon, mélo, plus du tout dans le registre illusions troubles et cruelles. Dommage. Il faudrait des yeux faciles à émerveiller pour goûter tout à fait cette histoire d'un prestidigitateur qui, au début du XXᵉ siècle, à Vienne, conquiert un pouvoir dont le prince héritier Léopold prend ombrage.
Quand l'amour d'une duchesse les place en rivaux et que le romantisme s'en mêle, L'Illusionniste devient un peu tarte. Mais, sur la scène, les numéros ont du charme, et Edward Norton se montre, une fois de plus,
aux abonnés
sans engagement, résiliable à tout moment
L’avis des abonnés
Retrouver toutes vos avis dans notes et critiques
Veuillez réessayer dans quelques instants
Les commentaires sont soumis à des règles de modération. Lire notre charte
Vous avez déjà contribué. Retrouvez vos critiques dans la rubrique mes notes et critiques
Voir mes notes et critiques