Maison hantée, fantômes enfantins et monde parallèle… un thriller gothique ibérique qui fait monter l’angoisse avec un art consommé de la suggestion.
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En 2007, Bayonna rescuscitait le cinéma de genre espagnol avec son « Orphelinat » horrifique. Wild Bunch Distribution
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Publié le 28 mars 2009 à 00h00
Mis à jour le 29 juillet 2024 à 14h16
A force d'entendre parler d'une nouvelle vague du cinéma fantastique ibérique et de ne voir déferler sur nos côtes que des vaguelettes, on avait fini par croire à une chimère. Hormis Guillermo del Toro, Alejandro Amenábar, et peut-être Alex de la Iglesia, il n'y avait pas suffisamment de bons élèves pour fonder une école. L'espoir renaît avec l'arrivée d'un quatrième larron, Juan Antonio Bayona, dont le premier film est rapidement devenu un phénomène en Espagne.
Stylistiquement, L'Orphelinat appartient à la catégorie des thrillers gothiques comme L'Echine du diable (del Toro) ou Les Autres (Amenábar) et pétrit les mêmes ingrédients : maison hantée, fantômes enfantins et monde parallèle.
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