“Restore Hope”, 1993, en Somalie. Le point de vue reste américain, mais la peur domine et le sentiment de sauve-qui-peut général l’emporte sur l’héroïsme.
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Josh Hartnett
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Publié le 03 juin 2006 à 00h00
Mis à jour le 13 mars 2025 à 10h27
En 1993, les GI font naufrage en Somalie. Ridley Scott se plante dans le décor. Il ne s'est jamais montré plus esthète que dans ce film de guerre qu'il aborde, comme un peintre, avec des envies de lumière et de couleurs. L'enjeu semblait pourtant plus politique, puisque le film retrace un épisode dramatique de l'opération humanitaire Restore Hope, menée par l'armée américaine dans une Somalie ravagée par la guerre civile. Mais les circonstances exactes de cette sanglante mission de maintien de la paix sont résumées de façon expéditive, et l'échec disparaît sous l'héroïsme obligé des jeunes soldats.
Ridley Scott se préoccupe très peu des Somaliens, vaguement réunis dans le clan des méchants
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