Amours adolescentes dans le Japon en plein essor des années 1960. Le fils de Hayao Miyazaki réveille la nostalgie d'un paradis perdu.
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Publié le 11 janvier 2012 à 01h00
Mis à jour le 08 novembre 2021 à 01h37
Bienvenue dans un Japon rêvé, rétro, radieux, en plein essor économique, au beau milieu des années 1960. Moins d'un an après la catastrophe de Fukushima, le second dessin animé de Goro Miyazaki (après Les Contes de Terremer) se colore d'une étrange et poignante nostalgie. Le jeune réalisateur était en plein travail lorsque les tremblements de terre, le tsunami et le drame nucléaire ont ravagé son pays. De son propre aveu, il a accentué le côté « paradis perdu » du film. Certes, La Colline aux coquelicots reste, avant tout, la romance de deux lycéens, que risque de séparer un lourd secret de famille. Mais plus que cette sympathique et fraîche bluette, mi-shojo (manga pour
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