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Publié le 09 mai 2009 à 00h00
Mis à jour le 24 mars 2025 à 18h09
Corrigeons d'abord une erreur qui perdure : Frankenstein ne désigne pas la créature mais son créateur. Le monstre n'a pas de nom, il ne sait pas parler ; de là sa souffrance. Aux yeux d'autrui, il n'est qu'un monstre. Dans ce second volet de James Whale, le plus poétique sans doute, la créature acquiert justement quelques rudiments de langage auprès d'un ermite aveugle, le seul homme doux qui l'ait jamais compris.
Monstre d'humanité en quête d'amour, effrayant malgré lui, le personnage est interprété par le grand Boris Karloff, indissociable du mythe qu'il a incarné. Outre son humour exquis et sa manière de lier la solitude à l'imperfection des hommes, le film séduit par son élégance
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