L’éveil sensuel d’une pianiste muette dans les paysages de Nouvelle-Zélande. Campion a toujours observé les désaxées avides d’amour. Palme d’or à Cannes.
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Anna Paquin et Holly Hunter.
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Publié le 08 mars 2023 à 13h58
Mis à jour le 24 mars 2025 à 17h38
Un piano abandonné sur une plage des antipodes : une seule image suffit à évoquer le chef-d’œuvre de Jane Campion, première Palme d’or de l’histoire du Festival de Cannes donnée à une réalisatrice, en 1993, en attendant celle reçue vingt-huit ans plus tard par Julia Ducournau pour Titane, une autre histoire de métamorphose.
Nouvelle-Zélande, 1852 : la mutique Ada (Holly Hunter, inoubliable) accoste sur la plage avec sa fille de 9 ans, pour vivre avec son nouveau mari dans le bush. Cet homme inconnu pour elle refuse de faire transporter le bien le plus précieux d’Ada, son piano, qui est sauvé par Baines, un régisseur illettré très proche des Maoris (Harvey Keitel). Commence alors un
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