Un saloon miteux où Marilyn chante. À la fin, elle laisse sur le sol un escarpin, symbole d’une vie révolue, pour se réfugier dans la nature sauvage et les bras... sauvages de Mitchum. Splendide western.
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Publié le 14 avril 2012 à 00h00
Mis à jour le 11 décembre 2023 à 16h24
Marilyn et les hommes à ses pieds : on est dans un saloon de fortune enfumé, qui sent la poussière, le cuir et le crottin. Elle murmure une chanson dépouillée, une chanson mélancolique qui vaut de l'or (One Silver Dollar, superbe ballade country de Lionel Newman). Les cow-boys écoutent, babas, la langue pendante. Un seul feint l'indifférence, passe en la regardant à peine, mais de fait tourne autour d'elle, c'est Mitchum. Sacrée séquence, en plan très large, d'un des premiers films tournés en Cinémascope, dans la nature sauvage du Canada montagneux. Pour Preminger (Laura), ce sera son seul western. Un river-movie relatant la descente en radeau d'un curieux attelage composé d'un
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Que ce film a mal vieilli! La relation entre un Mitchum machiste au possible et une Marilyn gourde au possible fait que certaines scènes frisent le ridicule...
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