George VI (père d’Élisabeth II) bégayait. Ce film raconte le combat édifiant du monarque contre son handicap. Noble sujet, décors rutilants, acteur bluffant : une machinerie bien huilée..
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Colin Firth bluffant en George VI bégayant. Weinstein Company/UK Film Council - See-Saw Films/Bedlam Productions
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Publié le 03 septembre 2016 à 00h00
Mis à jour le 02 mars 2025 à 09h56
C'était une machine taillée pour les Oscars — Le Discours d'un roi y a raflé quatre statuettes en 2011, dont celles du meilleur film et du meilleur acteur. Recette du succès ? Un grand et noble sujet, d'autant plus noble qu'il s'agit, ici, du monarque anglais George VI et de son combat édifiant pour contrôler son bégaiement. Deuxième ingrédient : des décors et des costumes rutilants — au point que la reconstitution des années 1930 devient un corset trop serré pour la mise en scène platement illustrative de Tom Hooper. Troisième ingrédient, peut-être le plus important : un premier rôle propice à la performance de comédien. Simuler un handicap, ça marche presque à tous
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