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« Le Festin Nu », David Cronenberg. DR
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Publié le 26 juillet 2014 à 00h00
Mis à jour le 21 mai 2024 à 16h19
On l’a dit et répété mille fois : adapter le bouquin mental de William S. Burroughs, idole de l’underground, tenait de la gageure. Mais impossible n’est pas Cronenberg. Porté en lui durant près de trente ans, ce film se révèle une semi-réussite.
Théorique plus qu’abscons, il souffre surtout d’une sorte d’anémie qui empêche de s’immerger totalement dans ce trip permanent où rêve et réalité sont rigoureusement indissociables. Absurde, déroutante et touffue, cette relecture personnelle vaut surtout pour ses métaphores tactiles du processus créatif, de l’écriture littéraire considérée là comme un acte vital, pulsionnel et meurtrier. Ecrire, ici, c’est risquer et heurter
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