Quatrième épisode des aventures de l’inspecteur Harry, et le premier à être réalisé par Clint lui-même, impatient d’affronter son propre mythe, qu’il déconstruit avec brio. “Dirty Harry” défend cette fois une jeune femme, éliminant un à un les salauds qui l’ont violée. Efficace et brillant, avec une scène de nuit démente dans un parc d’attraction.
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Clint Eastwood. Warner Bros/Malpaso
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Publié le 25 juillet 2015 à 00h00
Mis à jour le 14 avril 2025 à 11h28
«On va pas vous laisser partir comme ça, lance l'inspecteur Harry au type qui a osé braquer son coffee-shop préféré. — C'est qui "on", connard ? — Smith, Wesson, et moi. » Grâce à ce genre de réplique burnée (dont le fameux « Make my day »), cette quatrième aventure (sur cinq) du plus infréquentable des flics de San Francisco est passée à la postérité. C'est également le seul film de la série réalisé par Eastwood lui-même, comme s'il avait voulu apposer son imprimatur en signant l'épisode le plus sombre et le plus violent, dans lequel une femme de tête (jouée par Sondra Locke, Mrs Eastwood à la ville) entreprend de se venger des hommes qui l'ont violée. Une
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