Première partie d’une saga qui relève un défi majeur : rester fidèle aux écrits foisojnnants de Tolkien. Inégal, mais avec de grands moments de magie.
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Publié le 13 décembre 2017 à 06h00
Mis à jour le 19 septembre 2024 à 17h45
De l’univers du livre de Tolkien, que reste-t-il à l’écran ? Dès le prologue, qui narre avec un luxe d’effets spéciaux les origines du bijou maudit, le bât blesse : le Mal s’incarne là où, dans le roman, on ne le pressent qu’à travers ses redoutables serviteurs. Dès lors, le rêve est amputé de sa part précieuse : l’invisible. Le merveilleux n’est pas absent de ce film gigantesque : il est intermittent. Reconnaissons à cette première partie la lourde tâche d’être l’épisode d’exposition. Jackson fut plus à l’aise dans la deuxième. Avant le bouquet final, Le retour du roi.
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