Un film d’animation qui raconte l’histoire la plus triste du monde avec beaucoup de sobriété… Depuis sa sortie en 1988 au Japon et en 1996 en France, cette tragédie épurée d’Isao Takahata s’est imposée comme un sommet du septième art. À partir de 12 ans.
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Le tombeau des lucioles, un des plus grands succès d’Isao Takahata Les Films du Paradoxe
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Publié le 02 mai 2015 à 00h00
Mis à jour le 12 novembre 2024 à 17h05
Le Japon, en 1945, sous les bombes américaines. Seita, 14 ans, et Setsuko, 4 ans, tentent de survivre. La ville est en ruine, la famine guette. Et voici qu'apparaissent d'étranges taches rouges sur le corps de Setsuko...
Un dessin animé tragique, c'est surprenant. Dès le début, la reconstitution d'un bombardement sur Kobe, dans des décors d'une précision hallucinante, installe un réalisme quasi documentaire. Avec une histoire toute simple — un petit garçon veille sur sa soeur malade —, Takahata éblouit. Admirateur de Paul Grimault et de Youri Norstein (Le Conte des contes), sa mise en scène privilégie les moments de pause, ces temps qu'on dit « morts » et où tout, au contraire,
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