1944 : Julien croit avoir mis sa femme à l’abri des Allemands. Le martyre et la douleur au présent, le bonheur saccagé en flash-back : poignant.
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Publié le 23 mars 2013 à 00h00
Mis à jour le 29 octobre 2024 à 14h31
À Montauban, en 1944, Julien Dandieu veut mettre sa famille à l'abri de la guerre. Il envoie sa femme, Clara, et sa fille, Florence, 13 ans, dans leur château à quelques kilomètres de la ville. Quand il s'y rend, il tombe en pleine horreur. Les SS sont passés par là.
Ce film poignant rappelle des événements de l'Occupation, tel le martyre d'Oradour-sur-Glane. Il met aussi en jeu les sentiments d'un homme qui se trouve soudain devant le mal absolu et prend le droit de faire justice lui-même. Enrico a subtilement rapproché deux réalités dans sa mise en scène : le présent, atroce, le passé et le bonheur, évoqués par des retours en arrière. Cette famille, cet amour, brisés par la mort,
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