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Publié le 10 juin 2020 à 06h00
Mis à jour le 19 décembre 2023 à 02h03
Dans un jardin public de Tokyo, un homme un peu triste vendait sans succès ses dorayakis, des gâteaux fourrés à la pâte de haricot rouge. Survint une vieille dame qui proposa de faire cuire les haricots à sa façon. Et les dorayakis se vendirent comme des petits pains. Jusqu’au jour où les mains déformées de cette vieille dame, nommée Tokue, attirèrent l’attention des clients, qui se mirent à la regarder comme une sorcière…
Le film ouvre un univers d’étonnants contrastes : il y a la tendresse de Tokue, comme ses gâteaux. Mais aussi sa douleur secrète qui fait resurgir un passé tabou : l’époque où le Japon condamnait à l’enfermement les malades de la lèpre.
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