Claude, en pension chez une veuve anglaise, tombe amoureux de ses deux filles. Dans cette œuvre tragiquement romantique, les tourments de l’amour sont sublimés par la musique de Delerue et les images distantes de Néstor Almendros.
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"Les deux anglaises et le continent" de François Truffaut 1996-98 AccuSoft Inc., All right / © Pierre Zucca/Arte
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Publié le 18 octobre 2014 à 00h00
Mis à jour le 14 octobre 2024 à 15h23
« Un jeune Proust qui se serait épris de Charlotte et Emily Brontë ». Voilà comment Truffaut lui-même résumait Les Deux Anglaises et le Continent dans les pages de Télérama, en 1971. Cette seconde adaptation d’un roman d’Henri-Pierre Roché est l’histoire inversée de Jules et Jim : ce sont cette fois deux sœurs galloises qui aiment le même homme, sans que jamais leur sororité s’en trouve brisée. Ces personnages sont plus jeunes que dans Jules et Jim, plus exaltés, à même d’être plus écorchés.
En 1899, Claude Roc (Léaud, à son âge d’or) est un dandy parisien, dilettante timide et audacieux, amateur de femmes et d’art. Il fait la rencontre d’Ann (Kika Markham), une Anglaise sensible
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