Le préquel de “Moi, moche et méchant” nous plonge dans les années 70, où le futur patron des Minions était déjà méchant.
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Gru et ses petits compagnons turbulents, au merveilleux charabia. Illumination Entertainment & Uni / UPI MEDIA
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Publié le 05 juillet 2022 à 11h21
Mis à jour le 04 novembre 2024 à 17h04
Bienvenue dans l’enfance de Gru ! Ce préquel de Moi, moche et méchant vaut, avant tout, par son rythme effréné – certains diront « survolté » –, soutenu par une réalisation dont la technique impressionne, et les décors pimpants et dynamiques de San Francisco, avec ses fameuses rues ultra montantes et descendantes − même le Steve McQueen de Bullitt aurait du mal à suivre ! Le vintage, ce nouvel exhausteur de goût suremployé par le cinéma grand public, est d’ailleurs joliment exploité avec un générique parodiant les James Bond des années 1970, et un mix de couleurs et de standard musicaux disco, dont le Funkytown de Lipps, Inc. , idéalement raccord avec l’univers des Minions.
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