Leur copain est mourant, eux partent en vacances. Guillaume Canet s’offre un casting de luxe mais n’a rien à dire. Prétentieux et vain.
S’abonner pour voir la note

Peut-on laisser un ami mourant à l’hôpital pour partir entre potes en vacances ? Pour eux, oui...
Réservé aux abonnés
Publié le 29 octobre 2011 à 00h00
Mis à jour le 03 avril 2025 à 14h39
Après Mon idole et Ne le dis à personne - dont le succès a masqué les défauts -, c'est de régression qu'il faut parler avec Les Petits Mouchoirs, troisième film de Guillaume Canet, aussi vide qu'est apparemment grande sa prétention à faire date : durée hors normes, casting all stars (Cluzet, Cotillard, Magimel en tête), bande-son soul dont le coût seul doit excéder le budget d'un premier film d'auteur.
Un groupe de potes, vieux trentenaires, jeunes quadras, part en vacances au Cap-Ferret tandis que l'un des leurs gît sur un lit d'hôpital (et de douleur). Ont-ils le droit de s'amuser ou, plutôt, de se pourrir la vie à coups de petites névroses quand l'autre est entre la vie et la mort ? On
aux abonnés
sans engagement, résiliable à tout moment
L’avis des abonnés
Retrouver toutes vos avis dans notes et critiques
Veuillez réessayer dans quelques instants
Les commentaires sont soumis à des règles de modération. Lire notre charte
Vous avez déjà contribué. Retrouvez vos critiques dans la rubrique mes notes et critiques
Voir mes notes et critiques