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Photo Peter Mountain/Focus Features
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Publié le 16 mai 2009 à 00h00
Mis à jour le 21 mai 2024 à 16h36
Genre : trompe-l’œil.
Après A history of violence, David Cronenberg a de nouveau dégoté un scénario idéal pour ses expériences de superposition des identités, de mélange des contraires. Les Promesses de l’ombre est une plongée dans la mafia russe de Londres, sur les pas d’une fille trop rangée (Naomi Watts, parfaite), en quête d’un nouveau souffle et, qui sait, de frissons. Ce thriller, à la façade classique, subvertit, voire inverse, tous les stéréotypes. Témoin, la grande scène rassemblant dans une même étreinte un homme, une femme et un bébé, mais où personne n’est ce qu’il devrait être dans pareil tableau.
La prestation de Viggo Mortensen, très rentré au début, se révèle particulièrement
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