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Publié le 14 juillet 2022 à 14h47
Mis à jour le 14 juillet 2022 à 14h47
Il est riche et protestant, elle n’est qu’une pauvre petite catholique, mais l’amour de ces deux étudiants de Harvard vaincra tout ce qui les sépare, sauf la mort… Ce mélo au succès phénoménal reste un exemple du pouvoir de Hollywood : ses producteurs demandèrent à Erich Segal, auteur du scénario, d’en tirer un livre qui fut édité pour la Saint-Valentin, devint un best-seller et prépara la sortie triomphale en salles… Ficelée comme une opération marketing, l’histoire d’Oliver et Jenny a perdu, aujourd’hui, de son pouvoir d’émotion programmée, tant la maladie est abordée de façon artificielle, comme dans un tire-larmes des années 1950.
Mais l’essentiel du film consiste à construire une image
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