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Publié le 07 novembre 2021 à 23h48
Mis à jour le 07 novembre 2021 à 23h20
On y croit, allez, pendant vingt minutes, et pfft !, l’ouvrage se dégonfle lentement comme une baudruche. Trop de lenteur superflue, trop de silences creux, trop de musique enveloppante. Minuit dans l’Univers, septième long métrage de George Clooney, déçoit.
Grandement, ce serait beaucoup dire, car on y est presque habitué, le sex-symbol so chic n’ayant jamais totalement convaincu comme réalisateur – une impression de déjà-vu domine souvent son cinéma, curieusement impersonnel, original mais superficiel. Par excès de modestie ? Optons pour cette hypothèse. Confessions d’un homme dangereux (2002), Jeux de dupes (2008) et Les Marches du pouvoir (2011) étaient malgré tout plus efficaces
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