Un couple mal en point dans un éden touristique filmé comme un piège. Qui va chuter ? Le cinéaste réunit deux chefs-d’œuvre de la nature : le Niagara, symbole de forces qui nous dépassent, et Marilyn, née pour les déclencher.
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Richard Allan et Marilyn Monroe. 0th Century Fox/DR
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Publié le 31 mars 2021 à 06h00
Mis à jour le 23 janvier 2025 à 17h21
Et le rouge des lèvres de Marilyn fit couler l’encre… en cascade. Niagara est le film d’une révélation, celui de l’éclosion d’une débutante (après des apparitions dans une vingtaine de films). Ou plutôt de l’explosion de la bombe Monroe, tant il tourne autour de deux centres de gravité, l’un métaphorique, l’autre organique : les chutes du Niagara et une chute de reins. « Pourquoi tu ne portes pas des robes comme ça ? » demande à sa femme le voisin de bungalow de Rose (Marilyn). Réponse : « Pour porter ça, il faut s’y préparer dès ses 13 ans. » C’est avec une précision documentaire que Henry Hathaway campe le décor de ce film noir en Technicolor :
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