Pastiche élégant des films d’espionnage d’antan. C’est là qu’a explosé Dujardin en espion crétin, colonialiste et macho.
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Jean Dujardin dans « OSS 117 : Le Caire nid d’espions » de Michel Hazanavicius (2006). Mandarin Films
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Publié le 21 mars 2015 à 00h00
Mis à jour le 16 février 2024 à 10h52
Avec le retour à l'écran d'OSS 117, Hubert Bonisseur de La Bath pour les initiés, on s'attendait bien à un pastiche, mais pas à celui-ci. A la place de la grosse farce redoutée, Hazanavicius a surpris avec cet hommage décalé aux films d'espionnage exotiques des années 1950-1960. Cadrages sophistiqués, transparences, Technicolor, sans parler des costumes, tout semble « d'époque » et évoque à la fois la ligne claire d'Hergé, les premiers James Bond et Hitchcock. Une réussite plastique dont le comique repose sur... Hubert. Avec son machisme, sa méconnaissance de l'islam et son sens de la déduction proche de zéro, ce héros est une vraie plaie dans l'Egypte de 1956 en pleine
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